Le vin est une boisson alcoolisée issue de la fermentation du raisin. Il en existe une très grande variété due la différence des terroirs, de cépages, de techniques de vinification ou de genres d’élevage. Autant dire que chaque producteur de ce breuvage a sa recette propre à lui.
Cet article va justement à la découverte de l’un de ces producteurs : le Château Ferrière. Profitez donc de la lecture.
Histoire du Château Ferrière : première partie
Le Château Ferrière a vu le jour au XVIIe siècle grâce à Gabriel Ferrière qui était alors courtier royal. Dès lors, le château s’est, petit à petit, développé au gré de ses divers dirigeants, lesquels étaient tous descendants de la famille Ferrière.
Dès le début du XIXe siècle, la réputation du vin produit par le château monta en flèche à Margaux. Cette réputation fut, d’autant plus, reconnue par l’accession de ce vin au rang de troisième cru classé en 1855. N’hésitez pas à cliquez ici pour en savoir plus.
Ainsi vînt 1914 où le château fut vendu à Amand Feuillerat, détenteur du Château Marquis de Terme et jouissant donc d’une grande réputation dans le vignoble de Bordeaux. En 1921, il légua le château à sa fille Mme Durand, dont les héritiers mirent la propriété en fermage en 1952.
Ce n’est qu’en 1992 que le château reprit son exploitation au terme du bail de fermage. Le domaine était alors détenu par la famille Villars.
Histoire du Château Ferrière : deuxième partie
De nos jours, le Château Ferrière continu sa progression sous la direction de Claire Villars-Lurton. Cette dernière est à pieds d’œuvre pour assurer à la toute petite propriété un avenir radieux. Entre la construction d’un nouveau chai et la certification du vignoble en biodynamie, les efforts sont certains et effectifs.
Les vins produits sont également améliorés au fil du temps, tout en évitant de tomber dans la folie des grandeurs. Chaque année donc, la densité de ces vins augmente un peu plus, présentant ainsi un style bien typé. Autant dire que le Château Ferrière a encore de beaux jours devant lui.